7 Mai – La guerre des captifs 1 : La clémence des dieux, James S. A. Corey

J’ai toujours pas lu The expanse (mais j’adore la série TV) et voilà que la nouvelle série de James S.A. Corey arrive chez nous, toujours chez Actes Sud.

Résumé :

Les Carryx mènent des guerres de conquête depuis des siècles, détruisant ou réduisant en esclavage des espèces dans toute la galaxie, au sein d’un plus vaste conflit avec un ennemi ancien et immortel.
Lorsqu’ils arrivent sur le monde isolé d’Anjiin, la population humaine est humiliée, massacrée et asservie. Les meilleurs et les plus brillants éléments sont enlevés et emmenés dans le palais-monde des Carryx pour y rejoindre les prisonniers d’un millier d’autres espèces. Dafyd Alkhor, assistant d’un scientifique prestigieux, est capturé avec son équipe. Il est encore loin de se douter que sa perspicacité et ses
compétences particulières vont lui permettre de déjouer les terrifiants desseins de ses ravisseurs. Emporté dans un conflit qui échappe à son contrôle et dépasse son imagination, Dafyd est sur le point de devenir le plus grand héros de l’humanité – mais aussi son traître. C’est ici que commence son histoire

Couverture : Daniel Dociu
Traduction : Yannis Urano
Éditeur : Actes Sud
Nombre de pages : 416
Prix : 23,50€ (broché) / 14,99€ (numérique)

8 Mai – Histoires de moine et de robot, Becky Chambers

L’Atalante nous propose une belle édition regroupant Un psaume pour les recyclés sauvages et Une prière pour les cimes timides, les deux novellas formant Histoires de moine et de robot de Becky Chambers. Bon, j’ai déjà les deux en édition brochée classique, je vais pas acheter le relié, faut pas exagérer…

A moins que…

Résumé :

« Pour vous qui avez besoin de souffler. »

Un jour, la vie de Dex, moine de thé, est bouleversée par l’arrivée d’un robot qui, fidèle à une très vieille promesse, vient prendre des
nouvelles de l’humanité. Il a une question à poser, et ne rejoindra les siens qu’une fois satisfait de la réponse. La question : « De quoi les gens
ont-ils besoin ? »
Mais la réponse dépend de la personne à qui on parle et de comment on pose la question.
Dans ces romans qui ont conquis d’emblée les coeurs et les esprits, Becky Chambers met en scène nos doutes au quotidien : dans un monde
où les gens ne manquent de rien, à quoi sert d’avoir toujours plus ?

Couverture : Jeff Langevin
Traduction : Marie Surgers
Éditeur : L’Atalante
Nombre de pages : 248
Prix : 22,50€ (relié)

14 Mai – La constellation des ombres 1 : Le jour du souvenir, Bethany Jacobs

Bethany Jacobs arrive en VF ! Son roman These burning stars sort chez Nouveaux millénaires sous le titre Le jour du souvenir, premier tome de La constellation des ombres. Je l’ai en VO dans un coin mais je n’ai toujours pas pu tenter la lecture, ça sera peut-être l’occasion !

Résumé :

La paix, sous la Parentèlité. L’unité, dans le Treble. Telle est la mission des trois Mains, celle que tout Ecclésiaste, Ombre ou Secrétaire se doit de respecter pour maintenir l’ordre dans ces systèmes stellaires. Mais lorsque apparaît sur le marché noir une pièce mémorielle impliquant dans un génocide la famille la plus puissante du Treble, le chaos menace. Chono et Esek, deux des membres les plus brutaux de la Parentèlité, sont alors chargées de trouver cette preuve pour la détruire. Leur traque les mnera jusqu’à l’énigmatique Six, un être insaisissable issu de leur passé, qui n’a pas fini de les manipuler…

Couverture :
Traduction : Patrick Dechesne
Éditeur : Nouveaux Millénaires
Nombre de pages : 544
Prix : 22€ (broché) / 14,99€ (numérique)

14 Mai – Le solstice des ombres 1 : Sœurs de haine, Benjamin Lupu

La nouveauté de Mnémos pour Mai sera Sœurs de haine, premier tome du Solstice des ombres de Benjamin Lupu, ça a l’air sombre et violent et ça me tente bien.
Oh, mais Mnémos se met à indiquer clairement les séries et tomaisons sur les bouquins ? Hourraaaaaaa !

Résumé :

« Jusqu’où peut-on tordre une allégeance sans perdre sa place au banquet du Dieu Maigre ? »

À la chute des Anciens rois, tyrans cruels à la puissance colossale, les vainqueurs qui les avaient défaits s’arrogèrent leurs terres et élevèrent un nouveau culte, celui du Lion Solaire, Asthor. Mais cette ère de félicité retrouvée ne pouvait être éternelle… Déchirés par un conflit religieux aussi meurtrier qu’impitoyable, les baronnies hyrdrianes sont sur le point de sombrer dans le chaos d’une guerre fratricide.
Pris dans les intrigues d’une vengeance absolue et aveugle, Umbrod, jeune moine aux capacités magiques enfouies et mystérieuses, semble porter en lui la flamme ténue d’un espoir de paix.
Dans ce monde sur le point d’être englouti par la haine et la colère, parviendra-t-il à faire entendre sa voix ?

Couverture : Ebrahel Lurci
Éditeur : Mnémos
Nombre de pages : 320
Prix : 22€ (broché) / 9,99€ (numérique)

15 Mai – La guilde des queues de chats morts, P. Djèlí Clark

L’Atalante continue de nous traduire les écrits de P. Djèlí Clark et c’est au tour de La guilde des queues de chats morts (The dead cat tail assassins) de débarquer au catalogue de l’éditeur. Ça m’a l’air bien fun tout ça.

Résumé :

Eveen est morte. Ou plutôt morte-vivante. Depuis qu’elle a été réanimée et qu’elle a rejoint la guilde des Queues de chats morts, elle sert la déesse Aeril, Matrone des assassins, en tant que tueuse à gages.
Assassins dont le serment le plus important exige que tout contrat accepté soit honoré, sous peine de s’attirer les foudres divines. Alors voilà Eveen bien embarrassée lorsqu’elle doit éliminer une jeune fille… qui lui ressemble trait pour trait.
« Quoi ? murmura la fille.
— Tu es moi, dit Eveen, qui peinait toujours à y croire elle-même. Par les nibards de feu d’Aeril, je serais bien en peine de l’expliquer, mais… tu es moi ! »

Couverture : Benjamin Carré
Traduction : Mathilde Montier
Éditeur : L’Atalante
Nombre de pages : 208
Prix : 15,50€ (broché)

15 Mai – Le jour où l’humanité a niqué la fantasy, Karim Berrouka

Après les soucis d’ActuSF, on dirait que Karim Berrouka a repris ses petits droits sous le bras pour aller voir ailleurs, et Le jour où l’humanité a niqué la fantasy débarque chez La Volte pour une réédition. J’avais adoré ce roman, donc si vous êtes passé.e.s à côté, c’est l’occasion !

Résumé :

Les lutins n’ont jamais été petits et mesurent, au bas mot, un bon mètre quatre-vingt. Les licornes, elles, sont des femmes qui n’ont de chevalin que leur coiffure tandis que 
les fées – les pires de toutes – sont des globules libidineux d’une demi-tonne. Et si personne n’est au courant, c’est parce que les auteurices profèrent d’odieux mensonges. 
Et ça, ça ne plaît pas aux peuplades de l’irréalité.

Alors, pour réinitialiser la fantasy et rééduquer les habitants du concret déboulent de l’Affre-Monde des Abrutins vicelards, des Ondines pas très malines et des Djinns défaillants. Leur plan pour corriger l’imaginaire des Grouilleux ? Prendre en otage des bibliothécaires, kidnapper des auteurices au festival des Imaginales, annihiler les fans de fantasy.

Comme seul rempart contre cette réforme forcée : Olga et Margo, deux potes aussi déjantées qu’opiniâtres, un môme de 2000 ans habité par un démon pas si méchant, 
trois punks sous acide au Festival du Gouffre et un couple de faux-flics mystiques, détectives ectoplasmiques, sensibles comme un compteur Geiger.

Couverture : Diego Tripodi
Éditeur : La Volte
Nombre de pages : 380
Prix : 19€ (broché)

16 Mai – La dernière geste 3 : Ordalie, Morgan of Glencoe

Ça arrive ! Après les deux premiers tomes en Mars, Goater continue sa réédition de La dernière geste de Morgan of Glencoe avec Ordalie, un roman tout-à-fait formidable que je relirai bientôt pour être paré à découvrir le tome 4 inédit.

Résumé :

Près de deux ont passé depuis l’arrivée de Yuri en Keltia et le couronnement de Louis-Philippe en France. La tension est grande entre les deux territoires malgré les tentatives des ambassadeurs japonais et ottomans pour calmer les velléités belliqueuses du jeune roi d’un côté et la punition commerciale des Keltiens de l’autre. Lorsque la situation dérape, Yuri réalise qu’elle est la seule à pouvoir éviter au monde de basculer dans la guerre. Dans ce roman, on explore les charmes de Keltia, une utopie prônant de belles valeurs d’égalité et de tolérance, une société très humaniste où il fait bon vivre mais qui vient se heurter au reste du monde, englué dans son conformisme étriqué.

Couverture : Aliciane
Éditeur : Goater
Nombre de pages : 580
Prix : 18,90€ (broché)

16 Mai – La dernière geste 4 : Lys de guerre, Morgan of Glencoe

Et justement, le même jour qu’Ordalie (voir ci-dessus) sortira Lys de guerre, le tome 4 inédit et tant attendu de La dernière geste ! Je déclare ce jour férié.

Résumé :

Après le dénouement tragique du tome 3, voici venu le temps de la guerre entre le Royaume de France et Keltia. Le front va vite s’installer sur les marches de la Bretagne où les rames du rail viendront renforcer la défense. Pendant ce temps, des résistances se lèvent tandis que la diplomatie s’active en coulisses. C’est émouvant, addictif, féministe, queer, et de nombreux thèmes y sont décrits comme la lutte des classes, le racisme, le colonialisme, l’identité et les égalités de genre, la différence, les traumatismes. Quatrième roman du cycle de la dernière geste, ce texte est un mélange d’urban fantasy, de steampunk et d’uchronie.

Couverture : Aliciane
Éditeur : Goater
Nombre de pages : 580
Prix : 18,90€ (broché)

22 Mai – Comme l’exigeait la forêt, Premee Mohamed

J’ai jamais lu Premee Mohamed mais c’est pas la première fois que je vois passer ce nom, et le pitch de cette novella proposée par L’Atalante (qui nous gâte ce mois-ci) et tout à fait tentant.

Résumé :

Ne pas couper de bois vivant.
Ne pas faire couler le sang d’un animal.
Accepter un échange si nécessaire.
Ne jamais négocier.
Ne jamais accepter de « cadeau ».

Dans les bois du Sud, il y a d’autres bois. Ceux de l’Ormévère, régis par des règles absolues, peuplés de créatures surnaturelles. Ils sont si dangereux que nul n’en est jamais revenu, à l’exception de Véris. Alors quand les jeunes héritiers du tyran y disparaissent, elle reçoit l’ordre d’accomplir une nouvelle fois l’impossible en les ramenant sains et saufs.
Si elle échoue, le tyran la tuera et décimera son village. Si elle reste dans la forêt plus de vingt-quatre heures, elle et les enfants seront piégés à tout jamais. Un seul faux pas, un mot de trop lui coûteraient tout, et faire preuve d’héroïsme ne suffira pas.

Couverture : Veronika Park
Traduction : Marie Surgers
Éditeur : L’Atalante
Nombre de pages : 144
Prix : 12,50€ (broché)

22 Mai – La confrérie du sang 3 : La fureur des dieux, John Gwynne

OH ! Voici déjà la conclusion de La confrérie du sang qui arrive en VF ! La fureur des dieux débarque le 22 Mai et accompagnera la venue de l’auteur aux imaginales. J’ai évidemment adoré ma lecture VO il y a quelques mois, et cela conclut la trilogie donc plus aucune raison d’hésiter.

Résumé :

Débarrassé de ses chaînes, l’ancien esclave Varg est devenu un membre à part entière de la Confrérie du Sang. Alors qu’il brûle toujours du désir de venger l’assassinat de sa soeur, lui et ses frères d’armes se préparent à affronter le plus dangereux des ennemis : une déesse-dragonne démente et assoiffée de vengeance…

Devenue jarl de Snakavik, Elvar doit lutter pour consolider son pouvoir et faire face à des menaces aussi bien extérieures qu’intérieures. Alors qu’elle s’efforce d’asseoir son autorité en prévision du conflit majeur à venir, elle se trouve confrontée à une tâche qui paraît insurmontable : dompter la férocité d’un dieuloup.

Tandis que Biórr et la compagnie mercenaire assoiffée de sang d’Ilska continuent leur voyage vers le nord, Guðvarr poursuit sa propre voie, espérant gagner les faveurs de Lik-Rifa, et surtout rester en vie !

Tous les chemins semblent mener à Snakavik pour la bataille finale qui changera à jamais le destin de Vígríd : un affrontement titanesque qui ébranlera les fondations du monde et témoignera de la véritable fureur des dieux.

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Couverture : Marcus Whinney
Traduction : Thomas Bauduret
Éditeur : Leha
Nombre de pages : 512
Prix : 27€ (broché)

13 Mai – The nightingale and the falcon 3 : The sorrow of the sea, Stephen Aryan

La trilogie de fantasy historique mongole de Stephen Aryan, The nightingale and the falcon, arrive à sa conclusion avec The sorrow of the sea. J’ai aimé tout ce que j’ai lu de cet auteur, donc celle-ci est évidemment en PAL.

Résumé :

Embued with a new, ancient power, Temujin Khan holds all the cards. His father, the once great Hulagu, has now been reduced to a prisoner in a war he hoped to be the victor of. His youngest wife, the Blue Princess Kokochin has stepped into her own power, and seeks to find order and peace in a world she has never known…

Rippling in the heart of a bloody war, the Mongol Invasion comes to a standstill. But who will emerge triumphant in a world of conquerors?

Couverture : Sarah O’Flaherty
Éditeur : Angry Robot
Nombre de pages : 400
Prix : 12,99£ (broché) / 6,78£ (numérique)

22 Mai – The Malevolent eight, Sebastien De Castell

Entre les Greatocoats et l’anti-magicien, Sebastien De Castell avait sorti The malvolent Seven pour se détendre avec des anti-héros et de l’humour, et voilà que nous arrive une suite ! The Malevolent Eight s’ajoutera donc à ma pile de retard d’un de mes auteurs favoris.

Résumé :

The world is teetering on the brink of annihilation. The Lords Celestine and the Lords Devilish, celestial and infernal beings locked in an age-old enmity, have at last found the perfect battlefield for their apocalyptic Great Crusade: the mortal realm.

Cade Ombra, former Glorian Justiciar turned mercenary wonderist, leads a band of emotionally unstable mages in a desperate bid to prevent the impending clash of divine and diabolical titans. Failure will leave humanity to be conscripted into an eternal war, serving as foot soldiers doomed to oblivion.

The mission seems impossible, but Cade and the Malevolent Seven aren’t exactly pacifists, so they’re determined to bring peace no matter how many people they have to kill first. With wit as sharp as their blades and a moral compass that points only toward survival, they’re ready to cut down anyone in their path to stop the war before it begins.

Couverture : Head Design
Éditeur : Arcadia
Nombre de pages : 400
Prix : 20£ (relié) / 9,99£ (numérique)

7 Mai – Légendes & Lattes, Travis Baldree

On ne présente plus le légendaire Légendes & Lattes, le roman de Travis Baldree qui a grandement participé à l’explosion de la cosy fantasy de ces dernières années. Sa version française arrive en poche chez J’ai Lu, et ma chronique est toujours au même endroit.

Résumé :

Viv, une orc mercenaire au passé sanglant, décide de changer de vie. À l’aide d’une pierre légendaire censée lui apporter la bonne fortune, elle se lance dans une entreprise audacieuse : la création d’un café. Un pari risqué car, dans la ville de Tuine, elfes, lutins et ratelins ignorent tout de ce breuvage peu ragoûtant. Et lorsque les hommes de main du Madrigal, la mafia locale, viennent s’en mêler, Viv sait que son aventure ne se déroulera pas sans embûches…

Couverture : Carson Lowmiller
Traduction : Stéphanie Chaptal
Éditeur : J’ai Lu
Nombre de pages : 352
Prix : 8,90€

15 Mai – La brume l’emportera, Stéphane Arnier

La brume l’emportera a été un de mes grands moments de lecture de 2024 et le voici qui arrive en poche. Si vous n’avez pas encore goûté à la brume de Stéphane Arnier, je ne peux que vous conseiller de sauter dedans.

Résumé :

Un matin, la brume est apparue à la surface de l’océan. Montant chaque jour un peu plus, inexorablement, elle engloutit le monde et dissout tout ce qu’elle touche. Les rescapés survivent en gravissant les montagnes, aussi haut qu’ils le peuvent. Le berger Keb Gris-de-pierre est de ceux-là. Il a déjà tout perdu lorsqu’il rencontre Maramazoe, redoutable guerrière du peuple des mers, devenue paria. Bien qu’issus de peuples ennemis, tous deux sont contraints de s’allier pour échapper à la brume, trouver des réponses sur son origine… et, peut-être, le moyen de la dissiper. Conteur hors pair, Stéphane Arnier invite dans La brume l’emportera à une réflexion sur le deuil, les choix, le passé et les erreurs, au fil d’un récit riche en émotion autant qu’en action.

Couverture : Jean Leblanc
Éditeur : Folio Fantasy
Nombre de pages : 512
Prix : 10,50€

21 Mai – Les royaumes ardents 1 : Le trône de jasmin, Tasha Suri

Oh mais quelle bonne nouvelle, il semblerait que Le trône de jasmin de Tasha Suri retrouve sa superbe couverture originale de Micah Epstein pour l’édition poche (après le rose-petit-poney discutable de l’édition reliée française). Je dois toujours continuer la série d’ailleurs.

Résumé :

Au royaume d’Ahiranya, l’Ère des Fleurs s’est achevée par la domination du cruel empereur Chandra et l’évaporation des Eaux immortelles. Un étrange sortilège est à l’œuvre : des végétaux poussent à l’intérieur des humains, tandis que la sève des arbres se transforme en sang. Pendant ce temps, une rébellion couve. Au cœur de ce chaos, Malini, la sœur de Parijat, est retenue captive et droguée à la Fleur-aiguille. Avec Priya, une servante aux dons anciens, elle tisse des liens faits d’intérêts contradictoires, d’enjeux de pouvoir secrets, et d’attirance interdite… À l’heure où l’espoir d’une nation se lève, des choix difficiles se profilent.

Couverture : Micah Epstein
Traduction : Thibaud Eliroff
Éditeur : Le livre de poche
Nombre de pages : 768
Prix : 11,40€