Ma révérence, loose et humanisme
J'ai acquis un réflexe pavlovien assez étrange, à force : Dès que je vois une BD avec Wilfrid Lupano en scénariste, j'ai envie de la lire. Faut dire c'est un peu sa faute, après Alim le tanneur, l'ivresse des fantômes, le droit chemin, il arrête pas de faire de bonnes histoires et du coup paf... Et les dessinateurs avec qui ils bossent sont vraiment pas mauvais aussi. Mais quand je suis tombé sur "ma révérence" j'ai hésité, j'ai pas acheté de suite. J'ai tourné autour avec méfiance, reniflé, feuilleté, soulevé un sourcil perplexe, reposé le bouquin. Je suis pas vraiment fan du style de dessin qui est présenté ici, et le thème du polar social tourne souvent autour d'un discours…