Le premier, la chasse est ouverte
J'en ai déjà parlé par ici, mais de toutes les représentations vampiriques qui envahissent nos écrans et nos pages depuis des années, j'ai une large préférence pour le bestial, le violent, celui qui dévore de la chair fraiche (enfin, surtout le sang qu'il y a dedans) sans forcément accompagner ça d'un Chateau Latour 1886 sur fond de concerto pour clavecin. Vous l'aurez compris, la vision romantique du vampire, son rapprochement à la sensualité, voire à la sexualité, me laissent froid la plupart du temps (il dit qu'il voit pas l'rapport), même si c'est un héritage direct de la littérature du XIXe siècle. Autant vous le dire tout de suite, pour cette raison seule, la lecture du livre "le Premier" de…