Carmen à mort, Jack s’la pète un peu
Après quatre romans, Jack Reacher c'est devenu mon plaisir (pas) coupable un peu décérébré, que je consomme en VO et en audio. Les aventures rocambolesques du colosse ancien militaire, c'est un peu mon film d'action du dimanche, mais dans les oreilles. Mais bon, parfois, la frontière est floue entre le décérébré qui détend et le résolument débile. Dans Echo Burning (Carmen à mort en français, pour continuer dans la tradition des titres pourris), Jack Reacher se promène sur le bord de la route et fait du stop, se faisant pas trop d'illusion sur ses chances. Mais contre toute attente, une femme s'arrête et accepte de le conduire. Très vite, il se rend compte que Carmen, la conductrice en question, ne…