Le chevalier rouge, Le souci du détail
A force de promos numériques, de grosses et petites OP, je me retrouve avec une PAL squattée à moitié par les éditions Bragelonne. J'me suis dit que j'allais profiter du répit des vacances pour tomber un peu ces trilogies et intégrales qui peuplent ma liseuse. Après un trip très fun en compagnie des Pirates de l'Escroc-griffe, j'ai bifurqué vers la dark fantasy de Miles Cameron avec le premier tome de Renégat : Le chevalier rouge. Premier constat, le truc est massif, 840 pages en grand format (qui coute 34 euros, *tousse*), 1150 en poche, et en numérique tu le captes pas trop avant de te dire "la vache, il avance pas vite le petit curseur". Ce gros bidule nous raconte…