La compagnie des menteurs, la marche funèbre
Parfois, un bouquin vous tombe dessus comme ça, vous l'auriez jamais lu de vous-même mais le hasard, la providence, l'univers, un démon malfaisant ou votre maman (dans mon cas c'est plutôt ça...) vous le pose dans les mains sans vous demander, et vous l'ouvrez avant même de vous demander ce que ça fout là. Non parce que j'aurai jamais acheté La compagnie des menteurs de Karen Maitland tout seul hein, avec sa couverture photomontage instagram et sa quatrième de couv' qui attaque direct du "name-dropping" à coups de Umberto Eco et Ian Pears... Et oui, je pratique le délit de sale gueule sur les bouquins, je sais c'est mal. D'autant plus que celui-ci, sous ses faux airs de sous-nom-de-la-rose, cache…